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Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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14.02 - L'Accord du Diable
The Devil's Chord
Quand le Docteur et Ruby rencontrent les Beatles, ils découvrent que le tout-puissant Maestro a modifié l'Histoire.
Diffusion originale : 11 mai 2024
Diffusion française :
11 mai 2024
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Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 01 juillet 2024 à 13:49 |
Comment est-on censé pouvoir écrire un avis pertinent après avoir lu la critique de Galax ? |
Avis favorable | Déposé le 13 juin 2024 à 08:51 |
Après seulement un unique épisode dans ce nouveau Doctor Who, la série choisit d’envoyer valser toutes les règles, toutes les attentes, et propose au passage peut-être l’épisode le plus original de son histoire. Et la première claque de cette nouvelle ère ! (Beaucoup) plus de détails dans la critique. |
Avis favorable | Déposé le 29 mai 2024 à 18:06 |
Le deuxième épisode m'a beaucoup plu. Continuer le fil rouge
Spoiler
aussi bien Ruby que Toymaker, c'était cool. J'ai aimé l'idée et le déroulement. |
Avis favorable | Déposé le 25 mai 2024 à 11:37 |
Hier, RTD était stressé. Peut-être même trop. Du coup, il réintroduisait la série à grand coups de fiches Wikipédia dans ce qui ressemblait à une tentative de réintroduire la série pour les mômes. Mais genre mômes en bas âge, résultant un épisode con pouet pouet (cacahuètes !) Aujourd'hui, RTD est excité. Il replonge dans la série avec une énergie communicative qui se répant partout, de la même manière qu'un bon morceau du moment qui se répant dans les têtes de toutes personnes qui l'écoute, que ça soit par curiosité ou de passage. RTD est à l'image de son Docteur. Il est heureux d'être là, d'être en vie, il sautille, bondit, stylo à la main, prêt à utiliser l'esprit créatif qu'il a laissé croitre comme un bon vin pendant plus de 10 ans. Il aime la vie, il aime les gens, il aime créer. Donc quoi de mieux qu'une ode à la création pour son vrai retour ? Quoi de mieux que de célébrer l'humanité via sa capacité à créer et à s'exprimer ? Quoi de mieux que de mettre faceà face l'incarnation même de l'esprit créatif, plein d'amour de la vie et de ce qu'elle permet, et l'incarnation de la stagnation même, s'accaparant toute possibilité de grandeur de l'humanité et la menant inévitablement à sa destruction ? Pour moi, c'est aussi ça, Doctor Who. Un épisode qui te parle fait sentir la beauté de l'art, de la création et des sentiments. C'est beau. Mais du coup, contemplant l'énergie qu'il est prêt à transmettre, RTD a aussi peur. Effrayé de trop en faire. Ce qui fait que The Devil's Chord est un incroyablement intense épisode qui a cette malheureuse tendance à se retenir là où il aurait du entièrement exploser et embrasser totalement sa folie, un épisode qui au final, un peu comme The Giggle, n'arrive pas à aller à son plein potentiel ce qui parait malheureux quand on contemple son incroyable sujet. |
Avis favorable | Déposé le 17 mai 2024 à 10:25 |
Evidement les Beatles ou l’importance de la musique dans nos vies, ça me parle plus que des bébés de l’espace. Et malgré quelques trous d’air narratifs (j’ai l’impression que RTD a sué pour étirer son histoire sur 50 minutes), un deuxième épisode très divertissant, porté, entre autres, par la prestation de Maestro qui, bien qu’iel cabotine plus que tous les interprètes du Maitres additionné-es, offre une composition (^^) très marquante, voire limite effrayante par moment. Mais surtout, ce qui est frappant dans cette nouvelle saison est son envie de vivre et sa joie d’exister. Là où Chibnall donnait l’impression d’aller à la mine avec un boulet au pied, ce nouveau Docteur déborde d’un enthousiasme communicatif (il me semble qu’il dit d’ailleurs un moment un truc du genre « je suis juste content d’être en vie ») qui se retrouve notamment dans la partie musicale finale, totalement gratuite, mais réellement emballante. De plus, la complicité palpable entre le Docteur et Ruby participe grandement au plaisir (un peu) régressif que je prends à suivre leurs aventures et pour l’anecdote, je me suis retapé plusieurs fois le moment où il et elle découvrent la chanson des Beatles, tellement les deux sont excellents. |
Avis favorable | Déposé le 13 mai 2024 à 17:07 |
"D'abord, il y a une note. Puis, un air. Enfin une mélodie." Il se trouve que malheureusement, c'est très compliqué de jouer seul une mélodie. Tu peux être le chef d'orchestre oui, mais pas le soliste qui transcende l'ensemble. Des solistes dans cette série, il y en a eu plein. Certains même sont restés bien trop longtemps. Certains tentent cette saison de tout maitriser de A à Z. RTD n'est pas un soliste malheureusement. C'est un bon musicien, qui connait ses gammes, qui sait sur quelle tonalité appuyer pour faire plaisir (Susan), mais il n'a que trop rarement eu par le passé la capacité à dépasser complètement son propre script. Tout ici malheureusement est atone. Pas fade hein, juste simple. Deux rares moments méta viennent bousculer un script bien trop sage qui reste fidèlement appuyé sur ses gammes. L'épisode aurait dû être à la hauteur de la folie de Maestro. Il demeure comme le précédent à la bordure de LA bonne idée qui bouscule tout le reste. Les bases sont posées, mais à partir de là, RTD s'arrête et estime avoir fait le travail. Ce n'est toujours qu'en allant jusqu'au bout de ses idées que les meilleurs épisodes de Doctor Who ont été ce qu'ils sont (Midnight, Lisen, Doctor's Wife, etc). J'aime cette série précisément pour ça, pour son exigence qu'elle a avec elle-même, pour sa disposition à pousser n'importe quelle potentialité de script au maximum. Pour l'illusion que la fiction et l'art de manière générale (ou la musique ici) puissent être repoussé jusqu'aux limites du possible. Car parfois, même pendant l'espace d'un instant, Doctor Who rend possible l'impossible. Malheureusement ici, à l'exception de la magnifique scène sur le toit, on reste coincé dans cette frontière étriquée du tout venant. Or, je veux bien qu'on m'explique mille choses, qu'on me raconte même que la lune peut être un œuf de dragon, mais Doctor Who est tout sauf du tout venant. Or, en voulant montrer l'extraordinaire pouvoir de la musique, mais en restant cantonné à des gammes simplistes, RTD démontre précisément l'inverse. Et c'est bien ça sans doute le plus triste. Alors, il faut, peut--tre, qu'un vieux soliste s'éveille à son tour. Et que peut-être qu'il nous démontre à tous qu'il est encore capable (j'en doute personnellement) de composer, non pas une note, ni air, mais bel et bien une mélodie la mieux à même de donner à cette saison — enfin ! — le coup de fouet qu'elle mérite tant. Let's go Maestro ! |
Avis favorable | Déposé le 13 mai 2024 à 08:28 |
The Devil’s Chord a une joie folle. Mais Ruby raconte un amour brisé et à ce moment-là le temps se suspend, un seigneur du temps orphelin rêve et les londoniens revivent. |
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Je n'ai pas aimé la chanson de fin ! Vraiment, c'est mal écrit et une occasion manquée de faire un vrai hommage à la musique 60's. Outre ça, ben l'épisode était une masterclass. Autant sur le visuel (la scène du soundstop) que sur la narration ! Les personnages sont hauts en couleurs, délirants et peu crédibles, et c'est tout ce qu'on veut dans Dr Who.